Après plusieurs années de travail utlisant le pochoir de la kalachnikov AK-47 sur papier de magazine ou de journaux (pénetrant des questions politiques, gastronomique, sportives ou recadrant des clasiques de l’histoire de l’art), l’artiste sort de son atelier avec l’intention d’expérimenter non seulement des techniques de peinture rupestre mais aussi jouer avec l’origine de l’art et celle de la violence. Cette série de photographies qui documentent le site qu’il propose à ses armes rélisées cette fois, avec de l’argile et de pigments naturels laissant sur les rochers d’une forêt française la silhouette de l’arme la plus utilisée dans l’histoire.
Aina Mercader Sbert